L'Albanie n'a pas le choix. Dans l'espoir d'adhérer à l'Union Européenne, elle doit réformer l’intégralité de son système judiciaire gangréné par la corruption. Une opération "mains propres" sans précédent. Onze mois après le début de la réévaluation des 800 magistrats du pays, les têtes continuent de tomber.