Depuis une douzaine d’années, des hectares de terres agricoles, minières, touristiques ou habitables sont achetées par des groupes privés à Madagascar. Encouragées, voire orchestrées, par l’État, ces ventes hypothèquent l’avenir des paysans qui se retrouvent sans terre. Parce qu’ils la bradent contre un sac de billets ou parce qu’ils n’ont pas de titre de propriété ni les moyens de défendre leurs droits ancestraux. Une situation contrastée où les conflits fonciers se mêlent aux espoirs de compensations
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