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Avec une température moyenne de 13,23°C, le mois de janvier 2025 “a dépassé de 1,75°C le niveau préindustriel”, explique l’observatoire européen Copernicus. Il devient le mois de janvier le plus chaud mesuré dans le monde. “C’est un mois surprenant, poursuivant les températures record observées au cours des deux dernières années, malgré le développement des conditions La Niña dans le Pacifique tropical et leur effet de refroidissement temporaire sur les températures mondiales”, a déclaré la directrice adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus, Samantha Burgess, dans un bulletin mensuel publié ce jeudi 6 février.
Un record inquiétant qui s’inscrit dans la continuité de 2024, année la plus chaude jamais enregistrée et la première à dépasser le seuil de 1,5°C de réchauffement climatique comparé à l’ère préindustrielle. Cette période (1850-1900), prise comme référence, permet de mesurer l’augmentation des températures due aux activités humaines puisqu'elle précède le développement massif de l'industrie et l'utilisation intensive des énergies fossiles. L'origine humaine du réchauffement climatique fait l'objet d'un consensus scientifique.
Le monde a atteint un nouveau record mensuel de chaleur en 2025, selon l'observatoire européen Copernicus. Le thermomètre s'était déjà affolé de façon historique en 2024, première année à dépasser le seuil de 1,5°C de réchauffement climatique comparé à l’ère préindustrielle.
Les influenceurs bientôt interdits de faire la promotion de l'alcool sur les réseaux sociaux ? C’est ce que souhaitent les signataires d’une proposition de loi transpartisane, pour ne plus faire des jeunes des cibles publicitaires pour les alcooliers.
Plus notre santé mentale est dégradée, plus on a de chances de développer une addiction. C’est ce que montre une étude de l’agence de sondages Odoxa, publiée mercredi 5 février.
Cette Meinau d’avant, la direction aussi voudrait la retrouver. Depuis fin janvier, le club a multiplié les appels à cesser la grève. L’entraîneur Liam Rosenior, en conférence de presse à la veille du match contre Angers, le mardi 4 février, a demandé aux supporters “de montrer leur mécontentement d’une autre manière. Cela pourrait faire la différence pour aller jusqu’au bout de la compétition en coupe de France et jouer les places européennes." Cette déclaration n’a pas eu plus d’effets que celle du capitaine Habib Diarra après la victoire contre Lille le 25 janvier, ou celle du président Marc Keller, le 27 janvier.
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“On a bien vu que les encouragements faisaient toute la différence. Ils ont marqué quand la tribune ouest ne chantait pas”, ironise Sabine, 45 ans, après la rencontre. “L’équipe manque d’expérience, on a que des jeunes qui ne sont pas habitués à jouer ensemble”, analyse Mathis, 21 ans. Dans le stade, beaucoup de supporters, comme Mathis, soutiennent cette grève sans pour autant y participer. “C’est une réaction normale, BlueCo détruit peu à peu l’identité du club. J’ai déjà fait plusieurs matchs dans le kop, c’est des amoureux du Racing et ils veulent se battre pour conserver son identité.”
D’autres comprennent les revendications, mais s’interrogent sur l’utilité de poursuivre cette grève. Yohann, 18 ans, trouve que c’est une bonne initiative, mais se demande si c’est la bonne manière de faire. Poursuivront-ils ce mouvement dimanche 9 février face à Montpellier ? Les groupes de supporters n’ont rien confirmé pour l’instant.
Louise Pointin
Édité par Yves Poulain