Amnesty International, Human Rights Watch et le réseau Open Society Foundations, suivis par trois autres associations locales, réclament à la plus haute juridiction de l’ordre administratif français un système de traçabilité de tous les contrôles d'identité. Le but ? « La reconnaissance de la part du juge administratif de la gravité du fléau des contrôles au faciès », estime l’avocat des six associations, Antoine Lyon-Caen, dans Libération. Une étude du Défenseur des droits estimait, en 2017, qu’un jeune racisé a une probabilité 20 fois plus élevée qu’un autre d’être contrôlé. Qu’en est-il pour les jeunes étudiants strasbourgeois ?
Si le budget américain n’est pas adopté par le Congrès avant le 1er octobre à minuit, le pays fera face à une paralysie. Il ne pourra plus payer son administration.
Les contrôles d'identité discriminatoires sont examinés par le Conseil d’État depuis le 29 septembre à l’appel de six associations anti-racistes.