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Alors que l'enseigne est placée en liquidation judiciaire, les promotions attirent les derniers clients avant la fermeture prochaine. © Loris Rinaldi

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La boutique San Marina des Halles, à Strasbourg, accueille ses derniers clients cette semaine. © Loris Rinaldi

Alors qu’aucun repreneur ne s’est pour le moment manifesté, les syndicats négocient désormais les conditions de leur départ. Sur Facebook, la CGT San Marina milite pour la signature d’un accord avec les adminsitrateurs judiciaires. Si la démarche aboutit, les syndicats espèrent obtenir une prime pour les salariés licenciés. Objectif affiché : que le montant de cette compensation financière corresponde à un versement équivalent à un salaire et demi.

Face à ces revendications, les administrateurs judiciaires proposent une prime allant de 400 à 1 000 €. Un montant jugé insuffisant par la CGT. Pour se faire entendre, l’organisation syndicale menace de bloquer des magasins appartenant à l’enseigne Minelli, dont l’actionnariat est identique à celui de San Marina. À l’échelle du territoire français, ce sont plus de 660 employés qui sont concernés par la fermeture.

Loris Rinaldi

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