Le Hollande-bashing gagne même les rangs des socialistes. Le député PS Pascal Cherki a estimé mardi à l'Assemblée nationale que "lorsque l'on est président de la France on n'est pas conseiller général, on prend la mesure de la situation et on change de braquet." "Il faut arrêter ces discours que personne ne comprend [...], cette espèce de novlangue imbitable. Il faut arrêter avec l'obssession de la réduction du déficit", a poursuivi ce député de l'aile gauche du PS.
Ces propos ont été jugés "inacceptables" par Harlem Désir, le premier secrétaire du PS.
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