Étudiants ou retraités, CGT ou encore CFE-CGC. À Strasbourg, la mobilisation de ce jeudi 18 septembre a réuni des tranches très diverses de la population, aux motivations tout aussi variées. Le Webex vous présente quelques visages de cette foule.
Déployé ce matin à l’aube, sur la place d’Haguenau à Strasbourg, un important dispositif policier a empêché la manifestation prévue à 6h30 par le collectif Indignons-nous 67.
Choc et effroi. C’est la stratégie choisie par la préfecture de police pour endiguer les blocages et mouvements non déclarés pendant cette journée de mobilisation. Blindés et surveillance aérienne attendent les manifestants au tournant.
Alexis, 16 ans, espère pouvoir soutenir la mobilisation du 18 septembre en bloquant son établissement. Banderole dans le sac, le lycéen revient sur son engagement.
Les pharmaciens se sont rassemblés jeudi 18 septembre, à Strasbourg, pour protester contre une mesure qui menace leurs marges et pourrait causer la fermeture de 6000 officines selon les syndicats. Les organisateurs ont été reçus à l’ARS et à la préfecture.
Pour lutter contre le phénomène de vol de vélo qui sévit à Strasbourg, la police nationale a organisé mercredi une opération de marquage de vélo en partenariat avec l’association CADR67. L’occasion aussi pour les forces de l’ordre de rappeler les bons gestes à adopter pour protéger son vélo.
À Strasbourg, ce militant à la FSE sera dans le cortège étudiant de la mobilisation du 18 septembre. Parallèlement, il fait l’objet d’une procédure disciplinaire et pourrait être exclu de l’université pour une action militante contre un syndicat d’extrême droite.
Histoires personnelles transformées en pièces de théâtre : c’est le programme du Centre des Récits du Théâtre National de Strasbourg (TNS). Ce soir, la première de la saison, Valentina, est une création qui en fait partie.
Spécialisée dans les vêtements éthiques et responsables, Louise Geber, propriétaire de la boutique Ligne Nature, s'identifie au mouvement de lutte contre la mode éphémère.
Mardi 16 septembre, Mohamed B. a été condamné à 15 mois de prison ferme et a une interdiction définitive du territoire français par le tribunal de Strasbourg, pour avoir agressé un des résidents de son squat.