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Les rues homonymes

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© Emma Bougerol

Chronologie des friches de Schiltigheim-Sud

L'avancement des réhabilitations

 

Hadrien Hubert, Clara Pierré et Septia Rahma Khairunnisa

Que faire à Schilick ?

Avec seulement une quinzaine de familles présentes en moyenne aux rassemblements, Camille Bader, président de la communauté juive de Bischheim, s’inquiète un peu. “Trouver un élan de jeunesse paraît essentiel, notamment pour assurer le minian, qui requiert dix hommes pour réciter les prières, lors de Sabbat.” Mais pour le rabbin, “ce n’est pas le lieu qui fait l’histoire ; elle se déplace avec la communauté. Aujourd’hui cette histoire s’est déplacée à Strasbourg.” 

 

Eric Elkouby et Andrée Buchmann espèrent faire de Schiltigheim une place touristique. Développer cette activité prend du temps et l’employé en tourisme n’en a pas : “J’ai d’autres ambitions politiques pour l’avenir”, affirme-t-il. La maire Danielle Dambach l’assure, cette nomination s’inscrit dans un projet à long terme : “Si Éric doit partir, on trouvera quelqu’un d’autre.” Il reste encore du chemin.

Pour jouer sur le même tableau, les plus petites structures, comme la pharmacie de l’Hôtel de ville, forment des regroupements d’achats dans le but de commander des quantités plus importantes.

Économiquement, les officines ne sont pas sur le même pied d’égalité. Celles qui disposent de moyens importants, comme Gentiane à Schiltigheim, jouissent de conditions commerciales favorables auprès des laboratoires : en achetant les stocks en grande quantité, elles peuvent négocier des remises.

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