Chaque année, une trentaine de personnes perdent la vie sur les routes du Bas-Rhin ; plus de 300 sont gravement blessées. Fatalité, disent les uns. Evénements prévisibles, soutiennent les autres. Faut-il parler d’accidents de la route ? De violences routières ? De publics « à risque » ? Les étudiants du CUEJ ont enquêté auprès des victimes et de leurs familles, des services de secours, des forces de l’ordre, des équipes médicales, des services techniques déployés autour de la sécurité, promue cause nationale depuis 2002.
Lire notre dossier complet ici.
Un chiffre : 37% des salariés français sont directement concernés par la souffrance au travail. Une réalité : loin des faits divers retentissants, des histoires devenues presque ordinaires de gens dépassés, accablés, mal à l'aise dans leur travail. Et la situation économique actuelle n'aide pas : intensification du travail, disparition de la frontière entre vies professionnelle et personnelle, accroissement des violences extérieures, etc. mettent les salariés sous pression. Seul rempart : une médecine peu préparée qui panse les plaies plus qu'elle ne prévient. Le travail à cœur perdu, une enquête des étudiants du Cuej.