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Au pied des terrils, dans le bassin minier de Valenciennes, les corons ou cités minières sont toujours là. Les traces de charbon ont aujourd'hui quasiment disparu du pays noir, mais certaines femmes continuent de récurer l'intérieur coquet de ces maisons en brique rouge.

Jeanine Lukaziewicz, Thérèse Bontemps et Nicole Joly ont appris à combattre la poussière de charbon. En famille, à l'école ménagère des houillères ou sous l'oeil du garde des mines chargé de surveiller le nettoyage des caniveaux, elles ont appris à devenir femme de mineur.

Retour sur une société paternaliste, dans laquelle le contrôle de la mine sur les mineurs commençait par les femmes.

« On disait tout le temps que les mineurs étaient crapés mais crapé qui veut ! »

Les maisons hantées existent-elles ? Catherine et Bernard le pensent. Tous les deux ont vécu dans leur maison des phénomènes qu’ils ne parviennent pas à expliquer. Qu’est-ce qui les pousse à adhérer à la thèse du paranormal ? Ils témoignent.

Ils s’appellent Guillaume et Walter. L’un est coiffeur, l’autre retraité. Des gens comme vous et moi ? Pas tout à fait. Quand l’individu s’efface pour laisser place à l’idole... Ils deviennent  Mylenien et Johnny. L’illusion d’être quelqu’un d’autre. Sur scène ou même au quotidien. Partez à la rencontre de ces sosies. En quête d'identité.

« Voici Axelle, notre fille, qui est rouge avec un petit bleu très clair. »

Pour Stéphanie, le A est rouge. Pour Brigitte, il est bleu clair. Pour Michael, les bruits des voitures ont des formes et des couleurs. Tous les trois sont synesthètes. Ils mélangent les sens, associent des couleurs ou des sensations tactiles aux lettres, aux chiffres, aux sons. Ni maladie, ni hallucination, la synesthésie reste un phénomène peu étudié. Au quotidien, les synesthètes ont pourtant une vie normale ou presque.

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Julie Lardon

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