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Au milieu des champs de verveine, une nouvelle fleur a fait son apparition. 14 petites plantes noires ont éclos en ce mois de mai. Pour racine, un câble électrique. Pour feuille, une bonnette anti-vent. Dans les prés et aux bords des rivières, nos micros ont écouté la Haute-Loire. Après quelques jours de moisson, des histoires ont poussé. La rencontre avec nos sources nous a mené sur la terre ferme. Et dans les fermes altiligériennes, celles qui nourrissent la France.

Défis environnementaux ou place des femmes au travail : nous avons sillonné un monde rural dans lequel se cristallisent tous les grands enjeux de notre époque.  
Au Puy-en-Velay, le changement climatique met en péril la pousse de la fameuse lentille verte, pourtant de plus en plus populaire. Dans les rivières du département, la population aquatique doit être protégée du réchauffement, mais aussi de la pollution et des constructions humaines. Les productions s’adaptent aux temps qui changent : la vigne est de retour dans le département, les producteurs laitiers se remettent à la transformation fermière. Si à la campagne les vocations chancellent, la passion vit encore. Les vétérinaires ruraux se font plus rares, mais sont toujours fidèles au poste. Les fermes se transmettent désormais à des étrangers. Et les femmes décident de plus en plus de prendre la tête des exploitations.

Le monde agricole, méconnu et parfois méprisé, s’est modernisé, dans ses techniques de production mais aussi dans ses mentalités. Les visiteurs des marchés de la Haute-Loire, de plus en plus jeunes, vantent les bienfaits de la nourriture locale. Entre les étales des fromageries, entre les stands de fruits et légumes et parmi les sachets de lentilles, l’évidence nous a sauté aux yeux : l’agriculture, c’est ce qui nous fait tous vivre.

Héloïse Décarre et Philippine Oisel

Un nouveau souffle

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Par Thomas Berthol

Alex, étudiant de 26 ans, est fumeur depuis 9 ans. Au début du deuxième confinement, il décide avec sa copine d'arrêter de fumer. Un défi pour Alex qui est assez exigeant avec lui-même.

Lors de la session pléni§re de mai, les eurodéputés ont cherché à peser sur les relations internationales. Mais ils ont surtout donné à voir leurs limites et divisions en la matière : impuissance face à l’escalade des violences au Proche-Orient, absence de consensus sur la politique migratoire...

Au sein de la famille européenne, les relations sont parfois tendues. Au-delà même des clivages politiques,  le Parlement, la Commission et les Etats sont loin d’être toujours en accord. Ils l’ont à nouveau montré lors des débats sur la stratégie vaccinale ou sur la gestion des plans de relance.

Mais quand il le faut, ils savent s’entendre pour adapter la législation aux enjeux du moment, en matière de données informatiques ou d’intelligence artificielle par exemple, et même parfois pour préparer le monde de demain, avec des votes sur les questions environnementales. Lors de la plénière, on a aussi senti à plusieurs moments une envie de renouer avec une Europe ambitieuse, avec plusieurs votes sur des programmes forts comme Erasmus +, le corps de solidarité européen et Europe Créative. Une envie qui retrouvera Strasbourg, le siège officiel du Parlement européen, lors de la prochaine plénière du mois de juin, après plus d’un an d’absence. 

Séverine Floch

Lors de la session plénière de mai, les eurodéputés ont cherché à peser sur les relations internationales. Mais ils ont surtout donné à voir leurs limites et divisions en la matière : impuissance face à l’escalade des violences au Proche-Orient, absence de consensus sur la politique migratoire...

Au sein de la famille européenne, les relations sont parfois tendues. Au-delà même des clivages politiques, le Parlement, la Commission et les Etats sont loin d’être toujours en accord. Ils l’ont à nouveau montré lors des débats sur la stratégie vaccinale ou sur la gestion des plans de relance.

Mais quand il le faut, ils savent s’entendre pour adapter la législation aux enjeux du moment, en matière de données informatiques ou d’intelligence artificielle par exemple, et même parfois pour préparer le monde de demain, avec des votes sur les questions environnementales. Lors de la plénière, on a aussi senti à plusieurs moments une envie de renouer avec une Europe ambitieuse, avec plusieurs votes sur des programmes forts comme Erasmus +, le Corps de solidarité européen et Europe Créative. Une envie qui retrouvera Strasbourg, le siège officiel du Parlement européen, lors de la prochaine plénière du mois de juin, après plus d’un an d’absence. 

Séverine Floch

Par Inès Guiza

Christian est un père comme les autres. Célibataire, il essaie d'éduquer au mieux ses enfants.
C'est pour cette raison qu'il ne leur a jamais caché sa croyance : il est sataniste.

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