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Par Juliette Mylle

Yves a 72 ans, il est retraité. Son fils, Alan, a 40 ans, il est trisomique. Ils habitent ensemble, dans la même maison. Yves s'occupe de son fils depuis des années, en s'adaptant à lui. En déposant des pastilles dans la maison, Yves tient la main de son fils dans une quête, qui peut lui paraitre parfois nébuleuse, d'autonomie.

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Par Juliette Fumey

Vivre de sa passion, un rêve pour beaucoup. Mais cette passion à un prix : celui du renoncement à une vie personnelle, celui de la fatigue physique, et celui du sacrifice. Rencontre avec Matteo, pompier de Paris et pompier volontaire en Alsace.

Par Charlotte Müller

Taha Festali a 28 ans. Il y a 3 ans, il perd la vue à cause d’une maladie des yeux. Les médecins ne peuvent plus rien faire pour lui. Tout d’un coup, son monde est à l’envers. Alors Taha trouve de nouveaux repères : sa perception acoustique et spatiale. Aujourd’hui, il mène une vie active, pleine d'ambitions. Il ne se laisse plus décourager. Toujours à ses côtés : sa femme et son chien guide.

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La technologie, c’est prodigieux, sauf quand ça se détraque. Les eurodéputés en ont fait l’amère expérience cette semaine. À cause d’une panne de courant, écran noir pour les députés qui suivaient les débats à distance mardi soir, Covid oblige. Preuve supplémentaire que la démocratie virtuelle a ses limites. Il faudra tâcher de s’en souvenir dans le fameux monde d’après. Ce monde d’après, les parlementaires ont tout de même continué de l’imaginer cette semaine. Un monde qui se veut plus solidaire avec l’adoption du programme de santé EU4Health qui renforce la coopération dans le domaine médical. Plus vert, avec le projet de taxe carbone pour lutter contre le changement climatique ou encore plus respectueux des droits humains, à l’image du rapport sur le devoir de vigilance pour responsabiliser les entreprises. Un monde d’après dans lequel l’Union européenne se projette aussi avec la déclaration instituant la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Un avenir de l’Europe, espérons-le, où le Covid aura disparu et dans lequel le Parlement aura retrouvé son écrin strasbourgeois.

Alexis Cécilia-Joseph

La technologie, c’est prodigieux, sauf quand ça se détraque. Les eurodéputés en ont fait l’amère expérience cette semaine. À cause d’une panne de courant, écran noir pour les députés qui suivaient les débats à distance mardi soir, Covid oblige. Preuve supplémentaire que la démocratie virtuelle a ses limites. Il faudra tâcher de s’en souvenir dans le fameux monde d’après. Ce monde d’après, les parlementaires ont tout de même continué de l’imaginer cette semaine. Un monde qui se veut plus solidaire avec l’adoption du programme de santé EU4Health qui renforce la coopération dans le domaine médical. Plus vert, avec le projet de taxe carbone pour lutter contre le changement climatique ou encore plus respectueux des droits humains, à l’image du rapport sur le devoir de vigilance pour responsabiliser les entreprises. Un monde d’après dans lequel l’Union européenne se projette aussi avec la déclaration instituant la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Un avenir de l’Europe, espérons-le, où le Covid aura disparu et dans lequel le Parlement aura retrouvé son écrin strasbourgeois.

Alexis Cécilia-Joseph

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