Chantal Acker Marx n’envisage pas d’exercer ailleurs qu’à la Robertsau, où elle vit avec son mari et ses deux filles: “Ce que je préfère ici, c’est l’impression d’être en ville et à la campagne à la fois.” La quadragénaire a lancé son activité en 2020. Elle fait partie des six thérapeutes de médecine douce qui se sont implantés à la Robertsau au cours des quatre dernières années, faisant du quartier l’un des mieux dotés de la capitale alsacienne. Naturopathes, sophrologues, hypnothérapeutes… Plus d’une dizaine de praticiens y exercent désormais.
Depuis juillet 2021, l’association mène un nouveau projet intitulé “La vie à la Robertsau durant la Seconde Guerre mondiale”. Les bénévoles recueillent les témoignages d’habitants concernant l’exode, les Malgré-nous ou les formes de résistance. La Ville se dit prête à soutenir l’initiative.
ANTHONY JILLI & JOFFRAY VASSEUR
C’est un château, un stade, une rue... et surtout une femme. Mélanie de Pourtalès a marqué l’histoire de Strasbourg mais reste méconnue. Tout comme Anne-Marie Fritscher, autre oubliée de la Robertsau.
Depuis juillet 2021, l’association mène un nouveau projet intitulé “La vie à la Robertsau durant la Seconde Guerre mondiale”. Les bénévoles recueillent les témoignages d’habitants concernant l’exode, les Malgré-nous ou les formes de résistance. La Ville se dit prête à soutenir l’initiative.
ANTHONY JILLI & JOFFRAY VASSEUR
La répartition des audioprothésistes à la Robertsau
©Jules Beaucamp et Julien Rossignol