L’Ansab a pour mission de protéger le caractère naturiste du site, de proposer des animations et de veiller à la bonne tenue des lieux. Cette année, 470 adhérents font vivre l’association, mais Hervé Bégeot se rappelle des grandes années: “On a eu jusqu’à 780 adhérents!” Les jours de pointe en été, 800 personnes viennent se dorer la pilule sur la plage. C’est un moment intergénérationnel, où toutes les classes sociales, toutes les couleurs de peaux, tous les sexes se côtoient, s’enthousiasme-t-il. Malgré cela, la moyenne d’âge des adhérents augmente d’année en année, la pratique n’attire plus autant les jeunes que dans les années 1980.
Avant 1989, les naturistes de Strasbourg se baignaient dans tous les étangs qui longent le Rhin. La mairie a voulu cadrer la pratique et a imposé cette zone pour leurs activités: pétanque, bronzage et barbecue.
[ Plein écran ] Une quarantaine de maisons à colombages sont réparties autour des axes historiques du quartier. ©Juliette Vienot et Khelian Yousfi
[ Plein écran ] Patricia Hilpert pourrait prendre plus de patients mais elle s’y refuse. L’humain passe avant tout pour l’infirmière. ©Charlotte Thïede
[ Plein écran ] Lucien Guedj, gérant de Audistra, a mis trois années pour trouver le local qui lui convenait, rue Boecklin. ©Julien Rossignol
[ Plein écran ] L'infirmière Patricia Hilpert tisse un lien avec chacun de ses patients, prenant de leurs nouvelles même en cas d'hospitalisation. ©Charlotte Thïede
[ Plein écran ] Dans son magasin, route de La Wantzenau, Déborah Jakubowicz veut accueillir des patients des quatre coins de la Robertsau. ©Jules Beaucamp
[ Plein écran ] Le Coq blanc est une institution dans le quartier. La maison à colombages existe depuis 1806. ©Martin Hortin
Plus d’une dizaine de thérapeutes spécialisés dans les approches douces de la santé exercent au cœur de la Robertsau. Le profil des habitants et les opportunités de diversification ...
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