Lors de la conférence de presse à Londres avec le secrétaire d'État américain John Kerry, son homologue britannique William Hague, a assuré les États-Unis du « soutien diplomatique total » du Royaume-Uni.
Le conservateur britannique, dont le gouvernement a renoncé à une intervention militaire en Syrie après un veto du Parlement, a déclaré que « la fin du conflit en Syrie passait par une solution politique ».
Au même moment à Moscou, le ministre des Affaires étrangères a mis en garde ses homologues sur le fait que des frappes en Syrie pourraient provoquer une explosion de terrorisme dans le pays et la région. Il a rappelé qu'une « solution politique était encore possible » en affirmant que Damas était toujours ouverte au dialogue et « prêtes à des négociations de paix ».