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Une quarantaine d'exposants étaient réunis, samedi, sur la place du Polygone, près de l'arrêt de tram Kibitzenau, dans le quartier du Neuhof. L'association Lupovino, qui accompagne au quotidien la population des gens du voyage, organisait la deuxième édition de son marché aux puces. Objectif : animer le quartier et inviter les gens à se rencontrer autour de stands d'objets en tout genre.
Maud Lescoffit et Julien Pruvost
Dimanche dernier, l'Association des jardins partagés du quartier Gare organisait la Fête de l'automne. Un concept différent des 77 jardins municipaux des secteurs du Fossé des Remparts et du Glacis ouest. Avec la culture collective de la terre, le partage des récoltes, le but est de permettre aux habitants du quartier de se rencontrer.
Nicolas Skopinski et Hélène Perrin
Il y a 40 ans, Christiane Lehmann fondait le Club des seniors et le CSC du quartier de l'Elsau. A l'occasion de cet anniversaire, elle revient sur les grands changements que le quartier a connu ces dernières décennies.
Arnaud Salvat
Valerie Schaub
vidéo: Manuel Fritsch, Valerie Schaub
Depuis deux ans, Astrid et Léo ont mis la vie en communauté au coeur d'une colocation créée dans une maison avec jardin au Neuhof. Les sept occupants de la batisse nichée au Stockfeld célèbrent le vivre-ensemble selon des principes écologiques. Ils concoctent leurs repas en commun avec les invendus d'un magasin et les légumes de leur potager.
Betti, la nouvelle arrivante, Abraham, un étudiant espagnol et la doyenne Aline, 46 ans, racontent leurs expériences dans cette colocation particulière.
Pour l'instant au nombre de sept - arrivées et/ou départs spontanés ne sont pas à exclure - les colocataires bouillonnent d'idées pour développer leur communauté: rencontres avec les voisins, accueil des cyclo-touristes de passage, culture de pommes de terre, de haricots etc. Et dans la cave, Astrid et Léo font preuve de leur savoir-faire.
Les piscines de la Communauté urbaine de Strasbourg poursuivent ce mardi la mise à jour de leur logiciel de gestion entamée ce lundi pour améliorer l'accueil des usagers. Un tarif réduit est proposé pour parer à tout désagrément.
L'entrée des piscines de la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS) sera désormais plus rapide pour les usagers. Les neuf centres nautiques opèrent depuis ce lundi matin une mise à jour de leur système de vente et de contrôle d'accès pour le moderniser. « L'effet sera bénéfique pour les clients car le temps de passage aux tourniquets est amélioré et le système continuera de fonctionner même s'il y a une panne de réseau », explique Véronique Petitprez, attachée de presse à la CUS.
Les usagers possédant un badge ne pourront pas l'utiliser ce mardi encore. « Mais il n'y a aucun changement dans les horaires et les activités proposées par les clubs sont maintenues », prévient le responsable de la piscine de Hautepierre.
En raison de ces perturbations, l'entrée est gratuite pour les abonnés à l'année et les bénéficiaires sur présentation de leur badge. Pour les autres, l'entrée est au tarif réduit de deux euros, à la place de quatre euros.
La piscine de Hautepierre est ouverte mardi de 11h30 à 13h30 et de 16h30 à 19h.
Célia Garcia-Montero
Troisième à l'Open international de Bâle le 6 septembre, la championne de karaté Anissa Omari, 16 ans, est de retour à Hautepierre dans le club où elle a tout appris. Elle y prépare la suite de sa saison et entend montrer l'exemple aux apprentis karatékas de son quartier d'origine. Portrait.
Après avoir décroché un nouveau podium chez les juniors (plus de 59 kilos) à Bâle, la karatéka Anissa Omari, déjà championne de France minime en 2012, a choisi de revenir dans son club d'origine à Hautepierre après plusieurs années passées à Holtzheim. Véritable fierté du quartier, la karatéka aide depuis le début du mois de septembre celui qui fut son premier entraîneur, Abdel Moustaïd, à encadrer les futurs talents.
Anissa s'inscrit ainsi dans la tradition familiale : son oncle Ahmed Tas, véritable modèle pour elle, a été sélectionné une dizaine de fois en Equipe de France de karaté au cours de sa carrière, et son frère pratique aussi l'art martial à haut niveau.
Anne-Claire Gross et Maxime Battistella
Situé à 15 minutes du centre-ville en vélo, le Parc naturel urbain (PNU) se situe au cœur des quartiers de Koenigshoffen, Montagne-verte et Elsau. Au total, plus de 35 000 personnes habitent sur le territoire du PNU qui couvre 450 hectares. La municipalité revalorise, depuis 2013, ce patrimoine naturel et culturel délaissé jusqu'ici. Le projet est financé à hauteur de 3 millions d'euros par la Ville de Strasbourg et de 3,14 millions d'euros par la CUS. Les travaux devraient s'achever en 2016.