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Une centaine d'espèces d'animaux trouvent refuge dans le quartier, dont le ragondin. © Kim Du

L'envie de faire quartier

Des résidents investis dans la vie associative, des commerces en transformation, un patrimoine à valoriser. La Montagne-Verte fait mentir le cliché de la cité-dortoir.

Lieu de passage, lieu de blocage

À la croisée des chemins de l'Eurométropole, la Montagne-Verte subit les contraintes d'un quartier de transit. Bouchons, pollutions et insécurité routière pèsent sur le quotidien de ses habitants, humains ou non.

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Des jeunes qui s'ennuient auraient brisé les vitres du CSC de la rue d'Ostwald.
© Thomas Ancelin

À la Montagne-Verte, Kévin, Isra, Abdel, Christian et Aimy sont tous usagers des services publics. De la crèche à la tombe, des tentes aux logements sociaux, des bacs de tri aux cours d’école végétalisées, l’État et ses agents oscillent sur une ligne de crête.

Services publics, regards critiques

Kévin, Isra, Abdel, Christian et Aimy sont tous usagers des services publics. De la crèche à la tombe, des tentes aux logements sociaux, des bacs de tri aux cours d’école, ils attendent mieux.

A la croisée des chemins de l'Eurométropole, le quartier de la Montagne-Verte subit les contraintes d'un lieu de passage. Bouchons, pollutions, et insécurité routière viennent peser sur le train-train quotidien de ses habitants, humains ou non. 

Des immeubles colorés bordent la rue des Foulons et des palissades de 5 mètres de haut bouchent l’horizon. Derrière, c’est l’autoroute. Le mur a été construit il y a dix ans pour réduire le niveau de décibels (dB) engendrés par l’A35, renommée depuis M35. Malgré les aménagements, la rue des Foulons est toujours considérée comme un “point noir du bruit”.

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